SOL et HABITAT

Le sol et sa protection

La saison sêche nous a offert une lecon: 

Tu peux planter ce que tu veux 

- si le sol ne peut pas garder l'humidité, rien va donner!


Ainsi, nous avons commencé sur un de nos champs d'améliorer le sol plus systématique avec des "buttes compostage".

Pour cela, nous creusons de longs canaux assez profonds et nous mettons dedans:

- la paille

- des feuilles verts

- bouse de vache

- fumier de mouton

- notre phosphor (propore production: oz de boeufs carbonisé)

- coquillage de mer pour reduire l'acidité de notre sol

- notre propre activateur de sol que nous ajoutons

   (que nous commencons de préparer nous-mêmes)


Cela nous a donné dans quelques semaines une terre avec plus de matière organique, dont la consistence a changé d'une manière qu'elle garde maintenant mieux l'humidité que nous apportons avec l'irrigation.

De plus, cette matière organique peut mieux garder les nutriments que nous ajoutons avec le bouse de vache etc.

A ce premier pas s'ajoute le paillage sur le sol et l'ombrage à travers les hangars en bois couverts de paille.

Cette double protection contre l'évaporation contribue à garder l'humidité dans le sol.

Habitat

Dans le future, nous voulons que les pailles sur le hangar seront remplacés par des plantes qui montent, comme les fruits de passion. Les premiers plantes ont bien "démarré" de monter auprès de leur tuteurs en bois.

Mais à longterme, les arbres fruitiers, comme nos citronniers, prendront la relêve - ou au moins vont augmenter l'ombrage et renforcer la protection contre les ventes forts et nefastes de la saision de pluie.


Depuis 2022, l'année du démarrage des travaux, nous avons planté surtout plus que 300 citronniers, 200 manguiers, 100 orangers, 100 anacardiers e quelques pampelmouses et mandarines. Avec d'autres arbres nous experimentons s'ils vont bien pousser dans le climate et sur notres sol. Un de nos baobab a déjà pris une hauteur et force impressionnant.

Les anacardiers sont plantés de long du mur pour contribuer à la protection contre les feu de brousse - comme sous un anacardier, il y a rien d'autre qui pousse, ainsi aussi pas des pailles, qui souvent aliment tels feux nefastes.


Nous avons remarqué que nos citronniers "volcameriana" sont très résistants contre la chaleur et la sêcheresse. Certes, si on l'arose de manière continuée ils vont pousser plus rapide et donner des fruits plus rapide. Mais si ils sont trop loin du système d'irrigation, ils survivent quandmême la saison sêche - avec une croissance ralenti, en pliant ou même predant leur feuilles à ce moment, mais elles tiennent et reprennent avec les prochaines pluies. Ils appliquent ce qu'on appelle le "système thérmique", a remarqué notre jeune pépinieriste Jonathan de ZONAPLANT. Ce sont ces arbres, qui seront très resistant à la chaleur, au changement climatique. 


Et il semble qu'il y a une autre variété, la "lime Tahiti", que nous avons trouvé à Foulaya, qui resiste aussi de cette manière à la saison sêche.


Cette saison 2025, nous allons planter encore 120 Tahiti et dans notre pépinière nous avons mis 200 Volcameriana en sachet. Au-délà de ces arbres très resistants, nous mettons encore 70 mandarines, 30 pomelos et 30 guaviers dans les champs de maraîchage - qui profiteront ainsi du système d'irrigation existant.


Les fruits de passion, que nous avons planté avant quelque mois, on déjà commencé à monter les bois ronds, qui constitue la structure des hangars que nous avions construit pour l'ombrage des légumes. Ils prendront la place des pailles, que nous avons utiliser la dernière saison pour couvrir ces hangars.


Ils ne donneront pas seulement l'ombre dans la saison sêche, ils protégeront aussi les légumes pendant la saison de pluie contre les fortes pluie - et ils seront des brise vent ainsi protégeant les plantes plus fragiles contre les fortes vents.


Sans oublier les fruits doux qu'ils offront - et pour les travailleurs sur ces champs, et pour nos recoltes. Et les fruits, que nous oublions, vont soi-même semer des nouvelles plantes de manière naturelle, nous permettant de renforcer ou renouveller cette "couche de protection" facilement.


Comme ce champs experimentel est un peu large, nous les plantons ne pas seulement à la bordure du champs, mais aussi à l'intérieur sur une partie des bois ronds qui constituent ici aussi des tuteurs des légumes.


Ainsi, il y aura aussi des haricots, des concombre, des courges et des tomates, qui vont monter ces bois, contribuant à améliorer le climat au sein de ce champs.



Une deuxième mesures pour mieux protéger les légumes contre soit trop de soleil, soit trop des pluie forte, c'est de planter des papayers.


Notre champs experimentel dans lequel nous avons créé des buttes compostage - compostage sous-terrain - se sont montré comme habitat propice pour cela. Les jeunes papayers se sont très bien développé.


Question à voir si nous avons eu la chance d'avoir de la bonne semence - dont les plantes portent plusieurs années pourque cela peut reduire notre charge de travail.


Pour le moment il est un plaisir de regarder cette partie experimentel du notre champs 2 - avec les courges et concombres rampant qui couvre le sol (et nous soulage du travail de paillage), les aubergines (noir et amer) et les plantes de gombo qui donnent déjà des fruits - et même quelques plantes de tomates, qui resistent à la chaleur dans ce jardin vert.



Sponsoring écologique via: https://www.goodcrowd.org/permakultur-in-westafrika
Et vient une agriculture saine....